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🇺🇸 Des étudiants pro-palestiniens attaqués à l’université de Columbia avec des produits chimiques par des soldats israéliens
L'Université de Columbia se retrouve mêlée à une controverse alors que des étudiants affirment avoir subi des lésions oculaires potentielles et demandent des soins médicaux après un incident impliquant l'utilisation d'une substance chimique sur le campus. La controverse s’est encore intensifiée avec des accusations selon lesquelles d’anciens soldats israéliens, également étudiants, auraient déployé cette substance en guise de protestation.
Les rapports indiquent que la substance, appelée « Skunk », est un mélange de levure, de bicarbonate de soude et d’acides aminés de qualité militaire connu pour son odeur âcre ressemblant à celle des eaux usées brutes. Notamment, il n’est pas facilement accessible au grand public. L'incident a suscité des inquiétudes quant à la sécurité des étudiants concernés, qui auraient eu des problèmes de santé et des vêtements endommagés.
Le NYPD Le rôle des policiers dans cette situation a également été remis en question, certains affirmant qu'ils étaient présents uniquement pour surveiller et racialiser les manifestants. La controverse s'intensifie à mesure que des commentaires minimisent la gravité des dommages subis par les étudiants de Columbia, soulignant la nécessité d'une enquête approfondie et de mesures appropriées.
Le Skunk, développé à l'origine à des fins de contrôle des foules, est connu pour être utilisé dans le Cisjordanie comme une forme de punition contre Les PalestiniensL'odeur persistante du produit chimique a incité à recommander un savon spécial, vendu exclusivement aux forces de l'ordre, pour l'éliminer efficacement.
Au milieu du tumulte, des allégations ont fait surface selon lesquelles d’anciens militaires israéliens, déguisés en manifestants pro-palestiniens, auraient introduit clandestinement l’arme chimique lors d’un rassemblement de solidarité à l’Université de Columbia. Les appels à l'expulsion et aux poursuites pénales contre les responsables se sont intensifiés, avec des inquiétudes quant aux conséquences potentielles à long terme pour les victimes.
Cependant, les discussions sur l’identification des auteurs présumés ont suscité la controverse, certains affirmant que cela équivaut à du doxxing. Le professeur impliqué dans ces discussions est accusé d’avoir contribué à l’incident par une rhétorique nuisible, ajoutant une autre couche de condamnation à la situation qui se déroule. La communauté est désormais aux prises avec les conséquences d'un incident qui a perturbé de nombreux étudiants et exige des comptes de la part de l'administration universitaire.